Tarte aux pommes, à la frangipane et aux spéculoos

Temps de lecture : < 1 minute >
© wallonica.org
Ingrédients pour 8 personnes (petits mangeurs…)
  • 2 œufs
  • 125 g d’amandes en poudre
  • 2 c. à s. de farine
  • 160 g de beurre salé
  • 250 g de spéculoos
  • 100 g de sucre fin
  • 1 c. à s. de sucre impalpable
  • 600 g de pommes Cox
Préparation

(temps de préparation : 20 min. + 40 min. de cuisson)

  1. Préchauffez le four à 180°C.
  2. Mélangez 110 g de beurre mou, le sucre fin, les amandes en poudre, la farine et les oeufs, jusqu’à obtention d’une crème frangipane homogène.
  3. Réduisez les spéculoos en miettes au robot. Malaxez-les avec 50 g de beurre fondu, jusqu’à ce que l’ensemble soit homogène. Tassez-le dans le fond d’un grand moule à tarte recouvert de papier cuisson. Recouvrez avec la crème frangipane, puis disposez les pommes taillées en tranches épaisses par-dessus.
  4. Cuisez 30 min au four. Saupoudrez de sucre impalpable et poursuivez la cuisson encore 10 min.
  5. Servez tiède. Pour les gourmands, ajoutez une boule de glace vanille ou un peu de crème fouettée.
  6. Conseil culinaire : le temps de cuisson peut dépendre de la qualité des pommes. Elles doivent être moelleuses sans pour autant tomber en compote. À surveiller, donc…

Encore manger…

TREBEN : Elixir suédois (Herbes du Suédois)

Temps de lecture : 9 minutes >
ISBN 3850687953

TREBEN Maria, La santé à la pharmacie du bon dieu (Steyr, Wilhelm Ennsthaler, 1980)

Lors de la parution de son premier livre, Maria TREBEN laissait derrière elle une vie bien remplie, non dépourvue de vicissitudes mais néanmoins heureuse. Elle s’était montrée très sceptique quant à l’intérêt qu’allaient susciter ses conseils et son expérience concernant les plantes médicinales puisque les librairies regorgeaient de livres sur les plantes, l’un plus beau que l’autre. Cependant, il en fut tout autrement. Son livre La santé à la pharmacie du bon Dieu dont les ventes étaient de plus en plus prometteuses, accéda très rapidement à la première place sur les listes des meilleures ventes. Un quotidien allemand de renom déclara même que le premier livre de Maria Treben était le best seller du siècle. A l’heure actuelle, plus de 12 millions d’exemplaires de ses livres ont été vendus et sont traduits dans plus de 20 langues. Ils ont propulsé leur auteur au rang de spécialiste mondiale des plantes médicinales et Maria Treben à été obligée d’échanger une retraite tranquille contre une vie active faite de rendez-vous. Cette contrainte n’a été possible que grâce à sa vitalité et son hygiène de vie. Elle a accepté ce sacrifice de manière désintéressée pour apporter aux gens un savoir qui était menacé de disparition. […] Maria Treben est née à Saaz, en Autriche…” [extrait de la présentation de l’éditeur Ennsthaler]


L’Elixir suédois (les Herbes du Suédois)

Ingrédients :

  • 10 g de poudre d’Aloès*
  • 5 g de Myrrhe
  • 0,2 g de Safran
  • 10 g de feuilles de Séné
  • 10 g de Camphre**
  • 10 g de racine de Rhubarbe
  • 10 g de racine de Zédoaire
  • 10 g de Manna
  • 10 g de Thériaque Vénitienne
  • 5 g de racine de Carlinae
  • 10 g de racine d’Angélique

Les composants ci-dessus sont mis dans un flacon de 2 litres, à large col, fermant bien. Y verser 1,5 litre d’alcool à 38-40° ou de bon alcool de fruits et laisser macérer pendant 15 jours au soleil ou près d’un poêle (200 environ). Agiter le flacon tous les jours ainsi qu’ultérieurement, avant chaque prélèvement ou usage. Au bout de 15 jours on peut commencer à prélever de la liqueur dans une petite fiole fermant bien et qu’on conservera au réfrigérateur. L’alcool et les plantes peuvent rester ensemble indéfiniment. Plus vieille est la liqueur, meilleure elle est.

* On peut remplacer l’aloès par de la poudre d’absinthe.
** Le camphre doit être du camphre naturel et uniquement d’origine chinoise.


Extraits…

“Cette recette du célèbre médecin suédois, le Dr. Samst, Recteur de l’Académie de Médecine, a été trouvée, écrite de sa propre main, après sa mort. Le Dr. Samst mourut à 104 ans d’une chute de cheval. Ses parents et grands-parents avaient atteint eux aussi un âge canonique. Bien que cela semble une fable, ce qui va suivre s’est passé véritablement ainsi : j’étais une jeune femme, quand j’arrivai gravement malade, près de Lembach im Möhlviertel. La guerre nous avait chassés du territoire des Sudètes et dans un camp de réfugiés, en Bavière, j’étais tombée malade. J’avais attrapé le typhus et une intoxication par la viande (botulisme) qui évoluèrent en une jaunisse et une occlusion intestinale. Je restai plus de 6 mois à l’hôpital. Quand mon mari nous fit venir en Autriche ma mère, ma belle-mère, notre enfant et moi, j’étais si faible que mes jambes flageolaient. La nuit j’avais des douleurs qui me perçaient le ventre comme une épée. En même temps se déclenchaient des vomissements et des diarrhées spasmodiques. Je n’étais plus qu’un paquet de souffrance. Le médecin reconnut là, des douleurs, séquelles du typhus, qui souvent se maintiennent pendant de longues années. Un jour, une femme que je ne connaissais pas, m’apporta une fiole remplie d’un liquide très odorant. Elle avait appris ma maladie et voulait m’aider. Avec le flacon elle avait apporté la copie d’un manuscrit antique où, en 46 points, il était dit comment ces herbes guérissaient chaque maladie. Ces Herbes du Suédois l’avaient guérie elle aussi d’une grave maladie. Cette recette venait de l’héritage d’un médecin suédois renommé. Tous les membres de la famille avaient atteint un âge inhabituellement avancé. Les gouttes de Liqueur du Suédois guérissent, d’après le point numéro 43 : les ulcères et les bubons pesteux, même lorsqu’ils sont dans la gorge. Je rangeai la fiole dans la pharmacie familiale. Je ne croyais vraiment pas que ces gouttes toutes simples me rendraient la santé. J’ai rapidement changé d’avis. J’étais assise devant une immense corbeille de poires mûres, dont il fallait s’occuper rapidement quand une nouvelle crise se déclencha. Après que l’on m’eut confirmé que ces gouttes n’avaient pas seulement un usage interne, mais qu’on pouvait aussi les utiliser en usage externe, je ne tergiversai pas longtemps. J’humectai un tampon de coton sur lequel je mis un morceau de Nylon et glissai cet emplâtre sous mon porte-jarretelles et me remis à mon travail. Une impression merveilleuse envahi mon corps et j’eus la sensation d’être délivrée, comme si quelqu’un m’avait enlevé, en un tour de main, toute la maladie de mon corps. Je vous garantis que toutes les souffrances de ces derniers mois ont été comme effacées par ce simple emplâtre, que j’ai gardé toute une journée sous mon porte-jarretelles. La maladie a été balayée, je n’ai plus jamais eu de nouvelle crise. Mon fils qui avait 6 ans fut attaqué par un chien-loup et affreusement mordu au visage. Des cicatrices rouge sombre, boursouflées, s’étendaient du nez vers la bouche. Il apparait, au n° 33 du manuscrit antique, que “Toutes les cicatrices, blessures et coupures, même si elles sont anciennes, disparaissent si on les badigeonne 40 fois avec la liqueur”. Aussi, chaque soir, avant de le mettre au lit, j’ai tamponné les cicatrices de mon fils. Elles se sont effacées rapidement, même celles qui affectaient profondément le nez.

Maria TREBEN (1907-1991)

J’enregistre cette expérience et, en 1953, je m’installai ä Grieskirchen. Je visitai un jour une exploitation agricole et je rencontrai la jeune fermière, mère de 2 enfants, dans l’étable en train de traire. En guise de bonjour, elle me dit “Fais-moi ce que tu veux, je suis à bout, je me laisse faire.” Elle avait depuis des semaines, des maux de tête insupportables et, comme le médecin redoutait une tumeur cérébrale, elle devait aller ä Linz se faire radiographier. Le même jour, j’envoyai mon fils lui porter une fiole de Liqueur du Suédois afin qu’elle puisse se faire un emplâtre et passer la nuit sans maux de tête. Quelle ne fut pas ma surprise, quand, le lendemain matin, le fermier frappa à sept heures à ma porte : « Qu’as-tu donné à ma femme ? Deux minutes à peine après la pose de l’emplâtre, les douleurs se sont évaporées. Ce matin, elle a rejeté deux morceaux gros comme le doigt d’une matière, rouge brun, qui lui étaient descendus du nez dans la gorge. » C’était une infection des sinus, négligée depuis longtemps, et qu’une seule application avait guérie. Aujourd’hui encore, la fermière ne jure que par la Liqueur du Suédois. Il y a quelques années, elle a soigné sa fille avec des enveloppements, et l’a guérie d’une grave inflammation pulmonaire. La Liqueur du Suédois ne manque jamais dans sa pharmacie. Une femme souffrait depuis des mois d’une très douloureuse suppuration des sinus. Sa respiration par les narines était devenue impossible. Parallèlement s’étaient développées des douleurs intolérables. De puissants antibiotiques et des séances de radiothérapie n’amélioraient pas son État. Dès la première application, une amélioration se manifesta. A partir de la troisième, dans la nuit, les voies respiratoires étaient libérées et de gros morceaux de pus furent évacués par les narines. Je connaissais de vue une femme, qui, après la naissance de son sixième enfant, n’était plus que l’ombre d’elle-même. Un jour, je lui parlai et j’appris que, pour le moment, elle ne pouvait plus rien manger. Elle avait été obligée de mettre ses enfants en nourrice. Je lui conseillai de la Liqueur du Suédois. Environ trois semaines après, je la rencontrai resplendissante de santé. Les gouttes avaient fait merveille. Elle pouvait se nourrir normalement et avait repris ses enfants à la maison. « C’est comme si une bête avait soudainement été chassée de mon corps », me dit-elle, et ajouta que sa mère avait un pied terriblement enflé qui avait nécessité son hospitalisation. Elle ne pouvait plus se déplacer qu’avec une canne. Soixante-quinze piqûres n’avaient pas apporté de quelconque amélioration. Elle avait envoyé à sa mère la copie du vieux manuscrit et lui avait conseillé de faire usage des Herbe du Suédois. L’effet avait été très rapide, le pied Était revenu à son État normal et la canne superflue. Un jour, je reçu d’Allemagne, une lettre d’une de mes connaissances qui me priait de m’occuper de sa nièce, qui Était, présentement, en cure à Gallspach. Quand la jeune femme vint me voir ä Grieskirchen pour la première fois, je fus bouleversée. On la sortit de la voiture, puis on lui glissa deux béquilles sous les aisselles ; le corps estropié eut besoin, malgré l’aide, de plus d’un quart d’heure pour se trainer jusqu’à mon premier Étage. Les articulations des deux pieds étaient déformées, les doigts et les mains crispés et incapables de tenir quoi que ce soit. Pendant la marche, les pieds étaient traînés et le corps brusquement rejeté en avant. Je restai stupéfaite devant ma porte, les deux mains croisées sur la poitrine et ne pus énoncer que cette question: « Qu’est-ce qui vous a donc mise dans cet État, ma pauvre jeune femme? » « Cela m’est arrivé en une nuit, après la naissance de mon quatrième enfant », me dit-elle. Subitement, en une nuit, cette jolie femme n’était plus qu’une invalide clouée au lit. En Allemagne, elle avait été renvoyée de médecin en médecin, aucun n’avait pu améliorer son État. Pendant 4 années consécutives, elle était venue deux fois l’an, faire une cure dans la clinique du Dr. Zeileis à Gallspach, qui lui avait dit qu’il ne pouvait que la soulager, pas la guérir. C’était un spectacle poignant que de voir ses pauvres mains retournées qui portaient maladroitement sa tasse de café à ses lèvres. Je lui conseillai les Herbes du Suédois qu’à cette époque on trouvait dans les pharmacies allemandes, sous le nom de Crancampo. Aujourd’hui bien des pharmacies préparent les Herbes du Suédois selon la recette originale. Ce conseil ne donna à la jeune femme qu’un très faible espoir. C’était en février 1964. En septembre de la même année, je reçu un coup de téléphone de Gallspach, par lequel elle annonçait sa visite ä Grieskirchen et, me priait de venir la chercher à l’arrivée du car. Je fus stupéfaite et restai sans voix, quand je vis descendre du véhicule une jeune femme souriante qui avait seulement besoin d’une canne pour se soutenir. Les crispations et déformations des mains avaient disparu, ainsi que la plupart de celles des jambes. Seule subsistait une certaine enflure au genou et à la cheville gauche. Une année après, le 3 août 1965, tout était en ordre. Elle faisait sa dernière cure à Gallspach, sans canne et pleine de la joie de la santé retrouvée. Les reins avaient souffert pendant son quatrième accouchement et avaient déclenché ces effrayantes déformations. Tous les jours, trois fois elle avait dilué une cuillerée à soupe de Liqueur du Suédois dans un peu d’eau tiède qu’elle avait bue lentement, par moitié, avant et après chacun de ses repas, par gorgées. Quoique préparée avec de l’alcool, ses reins avaient bien supporté la préparation.

Il faut que je vous rapporte encore un cas vous montrant les incroyables résultats qui sont obtenus avec les Herbes du Suédois.

Ma sœur qui vit en Allemagne, me parla d’une de ses relations de Leipzig, qui souffrait depuis 15 ans dans une chaise roulante. Cette femme vécut pendant les années de guerre à Prague et, comme des milliers d’autres allemands, avait été obligée d’aller vivre dans la cave, où elle resta des semaines entières, sans paille, ni quoi que ce soit pour se coucher dessus. Ultérieurement, elle put partir pour Leipzig avec son mari. Peu de temps après, de graves déformations des articulations apparurent. Et puis sa vie se passa dans une chaise roulante. J’appris cela, seulement quand son mari mourut brusquement et la laissa seule à son triste sort. La paralysée dut quitter son appartement et fut relogée dans une chambre meublée. Il est interdit d’envoyer d’Autriche en R.D.A., des plantes ou autres produits médicaux. Je devais donc faire passer les Herbes du Suédois par une localité frontalière bavaroise, d’où elles étaient réexpédiées à Leipzig et, cela tous les deux mois. Bientôt je reçu des lettres teintées d’espoir. La malade prenait, trois fois par jour, une cuillerée à soupe de la Liqueur du Suédois, diluée dans de l’eau et ce, par moitié, avant et après chacun de ses repas. Les déformations régressaient lentement et les articulations perdaient de la raideur. […] Neuf mois après, l’amélioration était telle, qu’après 15 ans de chaise roulante, elle put sortir de son logement pour la première fois. Les progrès continuèrent et bientôt elle put nettoyer ses vitres et aussi accomplir d’autres tâches quotidiennes, que, jusqu’alors, des âmes compatissantes avaient effectuées pour elle. […]

Nous étions au lac d’Offen et nous nous servions d’un tronc d’arbre équarri pour nous asseoir au bord de l’eau. Un jour, nous trouvâmes le tronc appuyé contre la clôture de la pâture voisine. Tout à côté j’avais posé mon sac de plage. Avant de rentrer à l’hôtel, j’étais courbée sur le sac, en train de le mettre en ordre. Soudain, je fus comme foudroyée. La lourde pièce de bois m’était tombée directement sur la jambe. Au niveau du genou, j’avais une plaque bleu-rouge foncé et deux bosses de la grosseur du poing. On me porta dans la voiture et on me monta dans notre chambre. Mon mari voulut aller chercher un médecin ä Ebensee, mais je lui demandai de me faire un enveloppement avec de la Liqueur du Suédois. Environ 1/2 heure après, je pus descendre seule l’escalier pour aller à la salle à manger. Le lendemain, la jambe avait repris son aspect normal. Pas une ecchymose n’était visible et les deux grosses bosses avaient disparu… »


D’autres recettes au quotidien…

Foie de veau Pierreuse

Temps de lecture : < 1 minute >
Ingrédients pour 4 couverts
  • 4 belles tranches de foie de veau,
  • 15 gr. de beurre,
  • 4 oignons,
  • 1 verre de bouillon,
  • 1 c. à soupe de vinaigre,
  • 250 gr. de pruneaux,
  • farine,
  • thym, laurier,
  • 4 morceaux de sucre,
  • sel et poivre.
Recette du Chef
  • Débiter le foie de veau en morceaux et le faire revenir dans le beurre.
  • Réserver les morceaux de foie et les remplacer par les oignons émincés.
  • Remuer, saupoudrer avec la farine sans cesser de remuer, mouiller avec le bouillon, ajouter le vinaigre, le thym, le laurier et les morceaux de sucre.
  • Amener à ébullition et laisser un peu réduire.
  • Remettre les morceaux de foie et laisser cuire un quart d’heure à feu moyen.
  • Ajouter les pruneaux, préalablement trempés une heure dans de l’eau tiède.
  • Achever la cuisson.
  • Saler et poivrer selon votre goût.

Servir avec une purée de carottes, par exemple.


Encore faim ?

Boulets à la liégeoise

Temps de lecture : 2 minutes >

Boulets à la liégeoise ou boulets sauce chasseur ou boulets sauce Lapin : la sauce ne contient pas de lapin, mais tiendrait son nom de madame Géraldine Lapin, née Corthouts, épouse d’Ernest Lapin (1868-1922), receveur des contributions directes dans la banlieue de Liège (BE).

Ingrédients pour 6 boulets
      • 700 gr. de hachis porc et bœuf,
      • 100 gr. de pain blanc sans les croûtes,
      • 10 cl. de lait,
      • 2 oignons émincés,
      • 25 cl.de bière brune de table (alt. Triple Kasteel),
      • 2 tartines de pain blanc tartinées de moutarde,
      • 3 c. à soupe de sirop de Liège,
      • thym, laurier, sel et poivre, beurre.
​Recette du Chef​​
      • Faire gonfler la mie de pain dans le lait pendant 5 minutes.
      • Égoutter à fond.
      • Mélanger le hachis au pain et bien malaxer (on peut ajouter un œuf).
      • Façonner 6 boulets.
      • Préparer le bain de friture (200 degrés) et y plonger les boulets : ils doivent être dorés.
      • Laisser égoutter sur une assiette tapissée de papier absorbant.
      • Préparer la sauce : émincer les oignons et les faire suer dans du beurre chaud.
      • Ajouter la bière et laisser cuire quelques minutes.
      • Ajouter les 2 tartines avec la moutarde.
      • Ajouter du sel, du poivre, du thym, une feuille de laurier et les boulets.
      • Cuire 30 à 40 minutes à feu doux.
      • Ajouter le sirop 5 minutes avant la fin.
      • Servir avec frites ou purée de pommes de terre.
​Variantes

Encore faim ?

L’étiquette pour les nuls

Temps de lecture : < 1 minute >
  • Répondez toujours à une invitation par le même canal que celui de cette dernière. Invité par carton, répondez par carton. Via SMS, par SMS…
  • Respectez le dress code mais mieux vaut être trop bien habillé que pas assez. Une cravate s’enlève mais il est plus délicat de dissimuler sa paire de tongs.
  • En théorie, pour les hommes, c’est costume noir proscrit, tout comme les chaussures brunes. Et la cravate doit toujours être foncée et portée sur une chemise claire.
  • Lors d’un repas formel, arrivez les mains vides. Jamais de fleurs, qui encombreraient l’hôte. Si vous souhaitez vraiment apporter quelque chose, pensez à des (bons) chocolats, du vin ou du champagne. Et si vous êtes un inconditionnel floral, envoyez-en la veille de votre venue.
  • A votre arrivée, dites d’emblée bonjour. Mais attendez qu’on vous tende la main. A ce sujet, les règles sont claires. C’est d’abord l’homme qui dit bonjour, et la femme répond en tendant ou pas la main.
  • Entre personnes du même sexe, c’est la personne la plus jeune qui salue, la plus âgée choisissant ou pas de tendre la main.
  • A table, attendez que la personne qui vous invite soit assise ou vous invite à vous asseoir. Aussitôt assis, dépliez votre serviette sur vos genoux et gardez vos mains visibles.
  • Vous pouvez boire de l’eau avant tout le monde mais devez attendre le signe de l’hôte pour le vin et les alcools.
  • Ne coupez ni pain, ni salade, ni omelette avec votre couteau.
  • L’hôte, lorsqu’il dressera sa table, prendra soin d’alterner homme et femme, et de séparer les couples, sauf ceux mariés dans l’année.

Visiter Liège en 10 coups de coeur

Temps de lecture : < 1 minute >
Le Pot au lait (Liège, BE)

“Liège n’est pas forcément la première ville qui vient à l’idée de visiter quand on voyage en Belgique, mais c’est pourtant une cité pleine de charme et de belles surprises. Renommée pour son ambiance chaleureuse et festive, on la surnomme d’ailleurs la Cité Ardente. Alors que voir et que faire à Liège? Petite revue de l’essentiel pour visiter Liège à travers mes dix coups de cœur…”

L’auteure y sélectionne :

  1. La gare de Liège-Guillemins ;
  2. Le Grand Curtius ;
  3. La promenade des Coteaux de la Citadelle ;
  4. L’escalier de la montagne de Bueren ;
  5. Les impasses du quartier Hors-Château ;
  6. Le street-art avec Paliss’Art ;
  7. La cité miroir ;
  8. La bière artisanale de la Brasserie C ;
  9. Les gaufres d’une gaufrette saperlipopette ;
  10. Un bar déjanté: le pot au lait.

Pour découvrir ces coups de cœur de ladite Sarah, visitez LEBLOGDESARAH.COM (article du 7 mai 2016)


Comment savoir vivre au quotidien ?

10 plantes dépolluantes pour purifier l’air intérieur

Temps de lecture : < 1 minute >

“La pollution intérieure serait responsable de 99.000 décès par an en Europe. Elle provient des produits parfumés comme l’encens, les bougies ou les huiles essentielles, mais aussi des produits ménagers, déodorants, laque ou vernis. Mais que peut-on faire contre cette pollution ? Il existe des plantes très efficaces qui raffolent de ces polluants.

Bioépuration

Les plantes « respirent » par un phénomène qu’on appelle la photosynthèse qui leur permet de réduire naturellement le CO2. Mais en plus de ce mécanisme connu, certaines plantes et fleurs épurent l’air environnant. C’est ce qu’on appelle la « bioépuration » ou « purification par le vivant ». Les plantes qui en sont capables purifient l’air en stockant les produits chimiques toxiques dans leurs cellules ou en les transformant. Les scientifiques utilisent alors le terme de phytoremédiation, du grec phyto qui signifie plante et remédiation qui signifie remise en état. Quelles plantes choisir ? Malheureusement, toutes les plantes et fleurs n’ont pas cette fonction de purification de l’air face aux produits toxiques.

Voici une sélection de dix plantes, arbustes et fleurs qui seront bénéfiques pour votre intérieur :

  1. le chrysanthème ;
  2. le chlorophytum ;
  3. le dragonnier ;
  4. le ficus ;
  5. la fleur de lune ;
  6. la fougère de Boston ;
  7. la sansevière ;
  8. le palmier bambou ;
  9. l’aloes ;
  10. le flamant rose…”

Plus de détails dans l’article 10 plantes dépolluantes pour purifier l’air intérieur (la Rédaction, LESOIR.BE du 16 mars 2016)

Plus de presse…

PETITS PRODUCTEURS : l’autre salade liégeoise (recette)

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C’est la fin des haricots ! Qu’à cela ne tienne, on les remplace par de la verdure de saison. Quel choix ! Pourpier, roquette, mâche… En mélange, c’est un délice vitaminé.


L’autre salade liégeoise

© lespetitsproducteurs.be
      • Régimes alimentaires : omnivore, sans gluten
      • Budget : bon marché
      • Saisons : automne, été, printemps
      • Type de recette : salé
      • Préparation : 15 min
      • Cuisson : 20 min

Ingrédients pour 4 personnes :

      • 8 grosses poignées de verdures de saison au choix : roquette, mâche (ou doucette), pourpier (ou claytone de Cuba),
      • 8 tranches de lard salé ou non selon votre goût,
      • 2 oignons jaunes,
      • 12 grosses pommes de terre à chair ferme,
      • 4 càs de vinaigre de vin,
      • 1 noquette de beurre,
      • Sel, poivre.

Préparation :

    • Lavez les pommes de terre, faites-les cuire avec leur peau dans l’eau bouillante salée ou à la vapeur. Égouttez-les ;
    • Lavez et essorez la verdure ;
    • Tranchez le lard en tronçons de 2 cm ;
    • Épluchez les oignons. Découpez-les en rondelles ;
    • Faites fondre le beurre dans une poêle. Faites-y rôtir le lard et les oignons. Salez, poivrez et déglacez avec le vinaigre ;
    • Dans un saladier, mélangez la verdure, les pommes de terre, le lard et les oignons. Recouvrez avec le jus de cuisson au vinaigre.

Pour en savoir plus, visitez lespetitsproducteurs.be


[INFOS QUALITE] statut : validé | mode d’édition : compilation, édition et iconographie | sources : lespetitsproducteurs.be | contributeur : Patrick Thonart | crédits illustrations : en-tête, champ de mâche © Hof ter Dreef ; © lespetitsproducteurs.be.


S’attabler en Wallonie…