Plonk & Replonk

Temps de lecture : < 1 minute >

“Sous l’appellation Plonk & Replonk se cachent deux frères : les frères Froidevaux. Natifs du Jura suisse, ils se forment pour l’un dans une école d’art graphique, pour l’autre dans une école de commerce. Après une tentative infructueuse de reprise de l’affaire paternelle, ils s’essayent à la presse underground. En 1997, ils ont l’idée de détourner des cartes postales anciennes chinées aux puces de La-Chaux-de-Fonds. Chacun derrière son ordinateur, ils arrangent, traficotent, agrémentent, augmentent, légendent une série de cartes Belle Époque, qu’ils impriment et diffusent eux-mêmes. Elles vont rapidement faire leur succès et constituer leur style, leur marque de fabrique. On dit de Plonk & Replonk qu’ils incarnent le retour du surréalisme, du non-sens, du Dada, du farfelu. On les compare pour leur humour sarcastique à Pierre Desproges et pour leurs blagues détonantes aux Monty Python. Une chose est sûre : ils sont toujours drôles.” [PHILIPPE-REY.FR]


Quand on a touché le ​fond, quoi de mieux que d’essayer d’élever le débat et, ici, de goûter quelques unes des facéties -tant alpestres que graphiques- de l’équipe suisse des désormais éditeurs Plonk & Replonk. S’il en reste qui se demandent ce que peuvent produire aujourd’hui des rejetons Monty Pythonien élevés à la raclette, au fendant et à l’humour… helvète, ces quelques exemples sont pour eux. Les autres n’ont qu’à tourner l’alpage !


S’amuser encore ?

CLIN D’OEIL : les Muses de la non-inspiration

Temps de lecture : < 1 minute >
© M. La Mine (Juste Usage de l’Ecrit, FaceBook, 2018)

“Ah oui, les muses de la non-inspiration. Alors ? Quelle est la recette miracle pour empêcher qu’elles vous tourmentent ? Il s’agit de la pratique régulière de l’écriture. Tout simplement.

Évidemment, si l’on porte aux nues cette activité, elle devient inatteignable. Comment se comparer à Flaubert, Joyce & co ?

Mais si l’on considère l’écriture comme une pratique, un geste, tout devient possible. Comme toute pratique artistique, l’écriture nécessite un engagement intense et une régularité. C’est petit à petit que peut alors émerger son écriture.”

Travail d’étudiants du Master de Création Littéraire du Havre, FR


S’amuser intelligemment, c’est s’amuser…

GAG : le joueur de cornemuse…

Temps de lecture : 2 minutes >
1962 : Selim Sasson (RTB) rencontre Monsieur Léonard, de Mons @ Archives SONUMA

“Le temps, c’est comme une rivière : on ne touche jamais la même eau deux fois. Alors profitez de chaque instant de votre vie et écoutez mon histoire : je suis canadien et je suis joueur de cornemuse, c’est mon métier, et je peux vous en jouer des airs, des airs qui vous feront danser comme des airs qui vous feront pleurer.

Un jour, je suis appelé par un ami dans une province du Nord. Il est entrepreneur de pompes funèbres et me demande si je veux bien venir jouer à l’enterrement d’un pauvre vieux, un sans-abri. L’homme n’avait ni famille, ni ami et la cérémonie a lieu dans l’arrière-pays, en Nouvelle-Ecosse.

Je n’écoute que mon cœur et je pars le jour dit, dans une région que je ne connais pas bien et, bien entendu, je me perds et, bien entendu (je suis un homme, c’est normal), je ne demande pas mon chemin.

Je finis par arriver sur les lieux avec une bonne heure de retard. Manifestement tout est déjà fini, plus de corbillard, et les fossoyeurs sont déjà en train de manger leurs sandwiches sur le côté.

Je m’excuse auprès d’eux et je vais quand même près de la tombe du pauvre homme. Je m’incline auprès de la dalle qui est déjà en place et -l’émotion, sans doute- je prends ma cornemuse et je commence à jouer…

Et je joue, et je joue… Et les fossoyeurs déposent leurs sandwiches et me rejoignent, émus également par la mort de ce pauvre homme sans famille. Et je joue comme je n’ai jamais joué depuis. Et quand j’entame Amazing Grace, on se retrouve tous en train de pleurer et de se moucher bruyamment !

Toutes les choses ont une fin. Je finis de jouer, je remballe mon instrument et, comme je repars vers la voiture, j’entends un des gars qui dit : Je n’ai jamais connu ça, une telle émotion, pourtant ça fait plus de trente ans que j’installe des fosses septiques !


Rions un brin…

DEVOS : textes

Temps de lecture : 3 minutes >

 

Il y a des verbes qui se conjuguent très irrégulièrement.
Par exemple, le verbe ouïr.
Le verbe ouïr, au présent, ça fait: J’ois… j’ois…
Si au lieu de dire “j’entends”, je dis “j’ois”,
les gens vont penser que ce que j’entends est joyeux
alors que ce que j’entends peut être
particulièrement triste.
Il faudrait préciser: “Dieu, que ce que j’ois est triste !”
J’ois…
Tu ois…
Tu ois mon chien qui aboie le soir au fonds des bois ?
Il oit…
Oyons-nous ?
Vous oyez…
Ils oient.
C’est bête !
L’oie oit. Elle oit, l’oie !
Ce que nous oyons, l’oie l’oit-elle ?
Si au lieu de dire “l’oreille”,
on dit “l’ouïe”, alors :
Pour peu que l’oie appartienne à Louis :
– L’ouïe de l’oie de Louis a ouï.
– Ah oui?
Et qu’a ouï l’ouïe de l’oie de Louis ?
– Elle a ouï ce que toute oie oit…
– Et qu’oit toute oie ?
– Toute oie oit, quand mon chien aboie
le soir au fond des bois,
toute oie oit :
ouah ! ouah !
Qu’elle oit, l’oie !…
Au passé, ça fait :
J’ouïs…
J’ouïs !
Il n’y a vraiment pas de quoi !

DEVOS Raymond (1922-2006), Ouï-dire
(in A plus d’un titre, Paris, O. Orban, 1989)

Quand j’ai tort, j’ai mes raisons, que je ne donne pas. Ce serait reconnaître mes torts !

Il m’est arrivé de prêter l’oreille à un sourd. Il n’entendait pas mieux.

Qui prête à rire n’est jamais sûr d’être remboursé.

Si Dieu n’est pas marié, pourquoi parle-t-on de sa grande Clémence ?

Je suis adroit de la main gauche et je suis gauche de la main droite.

Etre raisonnable en toutes circonstances ? Il faudrait être fou…

Dès que le silence se fait, les gens le meublent.

Une fois rien, c’est rien ; deux fois rien, ce n’est pas beaucoup, mais pour trois fois rien, on peut déjà s’acheter quelque chose, et pour pas cher.

On a toujours tort d’essayer d’avoir raison devant des gens qui ont toutes les bonnes raisons de croire qu’ils n’ont pas tort !

Le flux et le reflux me font marée.

Toute la nuit, j’ai cru entendre le chromosome en plus qui tournait en rond dans ma case en moins.

Est-ce que c’est en remettant toujours au lendemain la catastrophe que nous pourrions faire le jour même que nos l’éviterons ?

Pour Dieu, l’imaginaire c’est une vue de l’esprit. La fiction ça le dépasse !

Une rengaine, c’est un air qui commence par vous entrer par une oreille et qui finit par vous sortir par les yeux.

On se prend souvent pour quelqu’un, alors qu’au fond, on est plusieurs.

La plupart des gens préfèrent glisser leur peau sous les draps plutôt que de la risquer sous les drapeaux.

La grippe, ça dure huit jours si on la soigne et une semaine si on ne fait rien.

Je crois à l’immortalité et pourtant je crains bien de mourir avant de la connaître.

Lorsqu’un chêne sent le sapin, il sait que sa dernière heure est arrivée.

Si tu étais plus belle, je me serais déjà lassé. Tandis que là, je ne m’y suis pas encore habitué

L’autre jour, au café, je commande un demi. J’en bois la moitié. Il ne m’en restait plus.

Le rire est une chose sérieuse avec laquelle il ne faut pas plaisanter.

Est-ce l’œuf le père de la poule ou la poule la mère de l’œuf ?

Un jardinier qui sabote une pelouse est un assassin en herbe.

Le vrai xénophobe est celui qui déteste à ce point les étrangers que, lorsqu’il va dans leur pays, il ne peut pas se supporter.

L’intellectuel dont la richesse est toute intérieure n’a rien à craindre du percepteur qui voudrait le taxer sur ses signes extérieurs de richesse.

C’est pour satisfaire les sens qu’on fait l’amour ; et c’est pour l’essence qu’on fait la guerre.

Si l’on peut trouver moins que rien, c’est que rien vaut déjà quelque chose.

Pour en savoir plus sur Raymond Devos, on peut visiter le Musée de la Fondation Raymond Devos à Saint-Rémy-lès-Chevreuse


Rions un brin…

GAG : cuisiner vegan, tu dois

Temps de lecture : < 1 minute >
http://www.yodablog.net/?p=1094
(c) yodablog 2010

Selon FR.STARWARS.WIKIA.COM : “Dans la série de films LA GUERRE DES ETOILES (George LUCAS), Les Ewoks sont de petits bipèdes pensants à fourrure natifs de la lune Forestière d’Endor. Ils sont connus pour avoir aidé l’Alliance Rebelle à vaincre l’Empire Galactique à la bataille d’Endor, permettant de détruire le générateur de boucliersitué sur la planète, et ainsi, la seconde Étoile de la Mort.Les Ewoks mesurent un mètre en moyenne ; ils sont omnivores et utilisent des lances, frondes et couteaux comme armes ; ils utilisent également des planeurs et des chariots de combat comme véhicules. Extrêmement doués pour survivre en forêt et construire des technologies primitives comme les catapultes, les Ewoks sont encore à l’âge de pierre quand ils sont découverts par l’Empire. Ils apprennent cependant très vite quand ils sont exposés à une technologie avancée. Quelques Ewoks ont été pris sur leur planète pour en faire des animaux de compagnie ou des esclaves. D’autres sont partis volontairement en suivant leur curiosité, particulièrement après la bataille d’Endor et l’établissement de postes de commerce sur la lune forestière par la Nouvelle République…”


Rions un brin…

GAG : poupée russe

Temps de lecture : < 1 minute >

GAG : encore une dernière avant de partir…

Temps de lecture : 2 minutes >
Neil Armstrong et la question qui tue !

Le 20 juillet 1969, en tant que commandant du module lunaire Apollo 11, Neil Armstrong fut la première personne à poser le pied sur la lune. Ses premières paroles après avoir marché sur la lune “C’est un petit pas pour l’homme, mais un grand pas pour l’humanité” ont été retransmises sur terre et entendues par des millions de personnes. Mais juste avant de rentrer dans la capsule, il fit cette énigmatique remarque : “Bonne chance, monsieur Gorsky“.

Beaucoup de gens de la NASA pensèrent qu’il s’agissait d’une remarque gratuite à propos d’un cosmonaute soviétique rival. Pourtant, après vérification, il s’avéra qu’il n’y avait aucun Gorsky dans le programme spatial russe ou américain.

Pendant des années, beaucoup de gens demandèrent à Armstrong ce que le “Bonne chance, monsieur Gorsky” signifiait, mais Armstrong se contentait de sourire.

Le 5 juillet 1995, à Tampa Bay en Floride, alors qu’il répondait à des questions après un discours, un reporter lui posa la fatidique question restée sans réponse depuis plus de 26 ans. Cette fois, finalement, il accepta d’y répondre puisque monsieur Gorsky était mort et Neil Armstrong pensa qu’il pouvait répondre à la question.

En 1938, lorsqu’il était enfant, dans une petite ville du Middle West, il jouait au base-ball avec un ami dans l’arrière-cour. Son ami frappa une balle qui atterrit dans le jardin de ses voisins, près de la fenêtre de la chambre. Ses voisins étaient M. et Mme Gorsky. Alors qu’il se baissait pour ramasser la balle, le jeune Armstrong entendit Mme Gorsky crier à M. Gorsky : « Une pipe ? Tu veux que je te fasse une pipe ? Je te ferai une pipe le jour ou le gamin d’à côté marchera sur la lune ! »


Rions un brin…

GAG : citations françaises

Temps de lecture : 3 minutes >

  • [trouvé sur Internet] “Il ne faut pas croire tout ce qu’on lit sur le web” (Albert Einstein).
  • Le problème avec toute cette flotte, c’est qu’à un moment on va manquer de Ricard…
  • C’est en voyant un moustique se poser sur ses testicules qu’on réalise que la violence ne résout pas tous les problèmes.
  • Il y a des regards qui te font perdre le fil, … l’aiguille, le dé à coudre, le bouton et la robe.
  • Le schizophrène construit des châteaux dans les nuages. Le psychotique y vit. Le psychanalyste touche les loyers.
  • Je suis bipolaire et je vous aime tous… bande d’enculés.
  • La vulgarité a ses raisons, que la raison s’en bat les couilles.
  • Souvent, on demandait à Marie de percer des trous dans une planche et Marie Laforêt.
  • C’est en sciant que Léonard de Vinci.
  • Être populaire sur FaceBook, c’est comme être riche au Monopoly.
  • En France, on n’a pas le droit de baptiser son fils Sextoy-Bouillant, mais on peut l’appeler Godefroid !
  • Je parle trois langues : le français, le second degré et les sous-entendus sexuels.
  • Parfois, je diverge. Mais le plus souvent, je dit bite comme tout le monde.
  • Un écrivain qui se livre, c’est comme un canard qui se confie.
  • Boire un déca au réveil, ça équivaut à partir au boulot en vélo d’appartement.
  • Il y a deux catégories d’OVNI. L’OVNI tender. Et l’OVNI true…

  • Ma fille a vomi sur ma chemise Desigual. Pas moyen de savoir où.
  • “Ne vous laissez jamais abattre” (J.F. Kennedy).
  • Jeanne d’Arc s’est éteinte le 30 mai 1431, environ deux heures après sa mort.
  • Notre planète est couverte de 72 % d’eau et on l’a appelée la Terre. Il ne faudra pas s’étonner si on découvre que Mars est composée au 3/4 de Twix…
  • La vitamine C… mais elle ne dira rien.
  • Un seul être vous manque et la vaisselle s’accumule dans l’évier.
  • Si tu es fier d’être Jéhovah, frappe dans témoins…
  • C’est tellement le bordel dans le monde d’aujourd’hui que, si ça se trouve, on est dans un sac à main depuis le début.
  • Beaucoup de gens pleurent quand ils découpent un oignon. L’astuce est de ne pas créer de lien affectif avec lui.
  • Procraféiner (verbe) : Remettre une décision ou l’exécution d’une tâche après avoir pris un café.
  • “Coup de filet dans les Landes : trois pins et deux chênes interceptés alors qu’ils tentaient de rejoindre la scierie”.
  • De toute façon, ce monde a perdu toute logique le jour où les cordonniers se sont mis à faire des clés.
  • Je me demandais : si un Hobbit à de grands pieds, est-ce qu’un Hopied a une grande… Non, rien.
  • Le comble du snobisme, c’est de parler de Mozart sans avoir jamais vu ses tableaux.
  • Si ça se trouve, les planches à repasser ne sont que des planches de surf qui ont abandonné leurs rêves et qui ont trouvé un vrai boulot.
  • Quand un cachalot vient de tribord, il est prioritaire. Quand il vient de bâbord aussi. (Olivier de Kersauson)
  • Trotsky, tue le ski.
  • Quand un unijambiste se lève du mauvais pied, il s’en rend compte tout de suite.
  • Je vois bien une finale France-Galles. C’est peut-être un détail pour vous, mais pour moi ça veut dire beaucoup.
  • Un livre de maths est le seul endroit où il est normal d’acheter 53 melons.
  • Certes, le rhinocéros est un gros ongulé ; mais qui ira le lui dire en face ?

Plus de gags…

GAG : English quotes

Temps de lecture : < 1 minute >

  • [trouvé sur Internet] It’s amazing how the sentence “don’t believe everything you read on the Internet” is the same backwards as it is forwards.
  • I spend 500 % of my life exaggerating.
  • I saw a guy today at Starbucks. He had no smartphone, tablet or laptop. He just sat there drinking his coffee. Like a psychopath.
  • [sms irlandais] Mary, I’m just having one more pint with the lads. If I’m not home in 20 minutes, read this message again…
  • Religion is like a penis. It’s okay to have one. It’s ok to be proud of it. However : do not pull it out in public, do not push it on children, do not write laws with it and do not think with it.
  • There are 3 kinds of people in this world : those who are good at math and those who aren’t.
  • Childhood is like being drunk : everyone remembers what you did, except you…
  • A recent study has found that women who carry a little extra weight live longer than the men who mention it.
  • Strange new trend at the office. People putting names on food in the company fridge. Today I had a tuna sandwich named Kevin.
  • Don’t worry about getting older. You’re still gonna do dumb shit, only slower.

Enjoy more…

GAG : How to incorporate the arms in Irish dancing

Temps de lecture : < 1 minute >

GAG : ne pas confondre…

Temps de lecture : 2 minutes >
© Auguste Derrière
“Amenez vos Maures” (Othello) & “Bring out your deads” (Monty Python)
dimanche & T-shirt de poulpe
les poubelles & les moutons aussi
un gaz à effet de serre & Bambi a pété
mon Amiral & mon copain rouspète
gros facho & bon à rien
le système métrique & la société m’étouffe
javellisé & j’ai lu
l’idole des jeunes & Johnny casse la croute
un chapitre & un matou rigolo
c’est l’Amazone & c’est là que j’habite
un perroquet & mon Papa est d’accord
lesbienne androgyne & omoplate
le Gospel & mon bébé a un coup de soleil
le Petit Poucet & le gosse était constipé
fêtard & il est temps de rentrer
 courgette & mode d’emploi du lancer de javelot
Mercato & maman pratiquante
la douche & l’abbé noir
les ciseaux à bois & les chiens aussi
Mais où est donc mon Ricard ? & conjonctions de coordination
Saturne & je suis bourré
péniche & oune zizi portougaiche
un poussin & égale 2
expatriées & anciennes petites amies mal rangées
gaspacho & flatulence froide
immatriculé & j’ai subi une triple sodomie
théologie & café au boulot
détergent & il va étouffer
coûts totaux & arme blanche pour bègues
chien de fusil & Kanichlakov
les Chloristes & les Petits Chanteurs à la Javel La Croix
narcissique impuissant & égocentrique
où est Frère Tuck ? & je veux un crackers de Sherwood
nous n’irons plus au bois & un seul hêtre vous manque et tout est des peupliers
je tripote & j’ai trois amis
cette religieuse tremble à l’idée d’être pénétrée par l’extase divine & vibre, ô ma sœur !
balcon & soirée nulle
cramponner & douleur nasale
pudeur & j’ai perdu ma montre
vieux sommelier & Papy gustatif
Daddy cool & Papa ne sait pas nager…

S’esbaudir plus avant…

J’ai honte

Temps de lecture : < 1 minute >

Arthur Schopenhauer (1788-1860) expliquait que le rire naissait de la prise de conscience soudaine d’un décalage entre un concept et la réalité qui devrait lui correspondre. Les éditeurs des pages Facebook “J’ai honte” et “J’ai honte… d’eux” pratiquent ce même décalage en réalisant des montages visuels qui traduisent littéralement d​es jeux de mots. Pour ceux qui ne sont pas abonnés à Facebook, voici quelques-uns parmi les ‘pires’ montages réalisés pour la page “J’ai honte… d’eux” :

VAN DAMME : textes

Temps de lecture : 2 minutes >
V​AN DAMME, Jean-Claude (né en ​​1960 à Berchem-Sainte-Agathe)

Si tu travailles avec un marteau-piqueur pendant un tremblement de terre, désynchronise-toi, sinon tu travailles pour rien.

T’as pas besoin d’un flash quand tu photographies un lapin qui a déjà les yeux rouges.

Dans les magasins de lingerie, on ne voit pas de calendriers avec des photos de garage.

Selon les statistiques, il y a une personne sur cinq qui est déséquilibrée. S’il y a 4 personnes autour de toi et qu’elles te semblent normales, c’est pas bon.

Moi, Adam et Eve, j’y crois plus, tu vois, parce que je suis pas un idiot : la pomme, ça peut pas être mauvais, c’est plein de pectine…

Si t’es perdu dans la forêt et que tu restes immobile pendant deux ans, il va pousser de la mousse sur un côté de tes jambes. C’est le Nord.

L’air est fait d’oxygène CO2.

Si tu tues un tueur, le nombre de tueurs dans le monde reste identique.

Quand t’es con, tu sais pas que t’es con puisque t’es con… alors que quand t’es pas con, tu sais que parfois t’es con.

Si tu téléphones à une voyante et qu’elle ne décroche pas avant que ça sonne, raccroche.

Le chômage existe parce qu’il y a du travail. S’il n’y avait plus de travail, il n’y aurait plus de chômage. Le problème est donc le travail.

Si tu dors et que tu rêves que tu dors, il faut que tu te réveilles deux fois pour te lever.

Je suis fasciné par l’air. Si on enlevait l’air du ciel, tous les oiseaux tomberaient par terre… Et les avions aussi… En même temps, l’air tu peux pas le toucher… ça existe et ça existe pas… Ça nourrit l’homme sans qu’il ait faim… It’s magic… L’air c’est beau, en même temps tu peux pas le voir, c’est doux et tu peux pas le toucher… L’air, c’est un peu comme mon cerveau…

Si tu as peur du noir mais que tu te sens mieux en fermant les yeux, c’est que tu as peur du jour.

La lumière crée de l’ombre et l’ombre est la conséquence de la lumière, mais, si la lumière disparaît, c’est l’ombre qui brille.

Si tu invites des gens qui ont tous le même groupe sanguin à une fête, mais que tu le leur dis pas, ils vont parler d’autre chose.

© Clémentine Mélois

Jean-Claude van Damme a également eu les honneurs de Clémentine Mélois, l’artiste française qui a “épilé l’Origine du monde” : une consécration…


S’amuser encore en Wallonie-Bruxelles…