
“Virtuose de la lumière, le Français était épris d’une liberté qui l’entraîna, comme son ami Giacometti, hors des modes et des sentiers battus. Au point d’être complètement snobé depuis 30 ans. Petit miracle : quelques œuvres sont aujourd’hui visibles à Paris.
Dans le numéro du 17 mai 1985 du New York Times, le critique Michael Brenson, l’un des plus réputés des Etats-Unis, fait l’éloge de l’oeuvre d’un vieux peintre français âgé de 80 ans, Pierre Tal Coat — « pronounced tal-KWAHT » , précise-t-il dans l’article. Brenson rend compte d’une exposition organisée au New Museum of Contemporary Art par Dore Ashton, la grande spécialiste de l’Ecole de New York (Rothko, de Kooning…). La manifestation manque d’envergure — neuf petits tableaux et trente-six dessins datant tous des années 1980 — mais, écrit Brenson, « elle permet de comprendre l’intérêt croissant pour le travail de Tal Coat ». Ce sera la dernière exposition du vivant du peintre qui meurt le mois suivant, le 11 juin…”
Lire la suite de la chronique d’Olivier CENA sur TELERAMA.FR (26 juin 2017)
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