Durant son enfance, l’artiste est fasciné par les monstres du livre Max et les maximonstres de Maurice Sendak. Ce thème des monstres, dessinés de manière un peu enfantine, est présent dans toute son œuvre. Mais loin d’être effrayants, nous sommes face à des monstres gentils, drôles, et d’une grande douceur. Cette gravure nous parle du deuil. Un autre thème cher à l’artiste est le masque carnavalesque, issu des fêtes païennes. Généralement de petit format, ses gravures forcent le spectateur à s’approcher pour prendre le temps d’observer et d’apprécier l’œuvre dans son ensemble…
VAN ASSCHE : Etreinte (2023, Artothèque, Lg)
