Qui sommes-nous ? [dossier de presse]

En résumé…

wallonica.org, c’est le « blog encyclo wallon ». Avec blog parce que, chaque semaine, de nouveaux articles sont écrits, compilés ou partagés, toujours assortis de liens vers d’autres sites de qualité. Avec encyclo comme dans ‘savoirs gratuits et sans pubs’. Et avec wallon parce que le citoyen critique de Wallonie, de Bruxelles et du reste de la Francophonie, y découvrira son bon plaisir et en ressortira… plus malin (et, croyez-nous, ça fait du bien) !

De plus, en 2021, nous sommes passés à la vitesse supérieure avec un kiosque de services (agenda, tribune libre, revue de presse, sélection de magazines en ligne, annuaire d’initiatives) tous reliés aux articles de l’encyclopédie. Nous avons également ajouté trois sous-sites à l’encyclopédie : la documenta (centre de ressources multimédia), le topoguide des rues, lieux-dits et curiosités de chez nous et la boutique… non-commerciale. Le carré wallonica est maintenant complet et nous sommes prêts à, mieux encore, trouver, éditer et diffuser les savoirs, à travers toute la Belgique francophone et la Francophonie.

wallonica.org est une initiative citoyenne, indépendante, consacrée aux savoirs francophones, principalement de Wallonie et de Bruxelles. Initialement publiée sur walloniebruxelles.org (en partenariat avec l’Encyclopédie de l’Agora québécoise, agora.qc.ca, 12+ millions de visites/an), elle a été soutenue par la Présidence de la Communauté française de Belgique à deux reprises, puis par la Province de Liège et la Fédération Wallonie-Bruxelles : la popularité de wallonica.org en fait un levier reconnu de la présence et de l’identité wallonne sur la Toile.

Via le carré wallonica, l’asbl wallonica.org est active tant dans le domaine de l’éducation permanente et du marketing culturel ou d’intérêt public que de la promotion des savoirs wallons. La marque wallonica® a été déposée pour toute l’Europe et correspond à 7 critères de qualité précis.

Pour garantir sa visibilité (entre autres auprès des moteurs de recherche les plus populaires), wallonica.org utilise les procédés techniques/sémantiques habituellement réservés à l’e-Business pour capter les internautes et drainer leurs clics vers les articles de l’encyclopédie ou, le cas échéant, vers d’autres ressources documentaires souvent méconnues. Enfin, l’actualité des publications de wallonica.org est activement diffusée sur les réseaux sociaux les plus populaires, via une infolettre hebdomadaire consacrée aux ‘derniers parus’ et par les canaux de promotion de nos partenaires


wallonica.org est un projet wallon… urgent !

L’heure est à l’action et toutes les actions ne se mènent pas dans la rue. Pour chacun, le désarroi est aisé face à une désinformation galopante, un consumérisme bêtifiant, un modèle de société globalisée qui scie la branche sur laquelle elle est assise, des obscurantismes qui reprennent du poil de la Bête et des partis totalitaires trop vite banalisés : les raisons sont donc multiples de se mobiliser pour les savoirs !

Mais comment faire, où donner de la tête pour ne pas donner du canon ? Comment réaffirmer utilement sa volonté de coopérer activement à la construction d’une société plus dignement humaine, plus simplement généreuse et plus naturellement pérenne. Sur ce terrain-là, l’éducation permanente et la culture sont des garde-fous qui restent à notre portée : activer les curiosités, alimenter les débats et mettre en réseau les (res)sources wallonnes disponibles en ligne, voilà des actions à mener au quotidien. Chez wallonica.org, on s’y consacre :

Nous fédérons l’accès gratuit aux savoirs wallons en ligne

Après plus de vingt ans d’encyclopédies en ligne, notre volonté de publier demeure vivante. Dans ces terres wallonnes et bruxelloises, wallonica.org n’est pas seule à partager en ligne des contenus de qualité. Reste que les sites les mieux intentionnés n’ont pas tous la même visibilité pour monsieur ou madame tout-le-monde, pour vous et moi (et pour nos moteurs de recherche). C’est pourquoi notre premier objectif est d’animer en continu un hub encyclopédique, un concentrateur, une plateforme qui donne accès aux savoirs wallons, là où ils sont le mieux documentés, par nous ou par d’autres éditeurs. A nous de veiller, de collecter, de traiter, de relier et d’éditer, avec un regard critique et créatif ; à l’internaute de découvrir et de pratiquer activement sa curiosité…

Nous drainons l’attention des utilisateurs du web vers les savoirs wallons

A force d’écumer les pages les plus reculées de la Toile et de surfer chaque jour sur les hyperliens, nous avons une bonne nouvelle (en moins de trois clics) : traditionnellement réservées au commerce en ligne, des techniques existent pour capter les visites d’internautes de 7 à 77 ans. Celles-ci sont néanmoins rarement utilisées pour le bénéfice de l’éducation permanente et de l’utilité publique. C’est pourquoi notre deuxième objectif est de développer une batterie de services intégralement reliés à des contenus de l’encyclopédie, qu’il s’agisse de notre kiosque (tribune, revue de presse, agenda en ligne, forum d’initiatives, liste de magazines), du carré wallonica (encyclo + documenta + topoguide + boutique) ou de notre présence active sur les réseaux sociaux. Nous comptons ainsi capter les internautes et drainer leurs clics vers l’encyclopédie. A nous de tweeter, de poster, de liker, de sharer, de caster, d’e-shopper et de faire toutes ces sortes de choses pour attirer leur attention ; au visiteur d’atterrir dans l’encyclopédie sans s’en douter et de ne pas bouder son plaisir ensuite…

Nous mutualisons la création de contenus wallons

Nous n’adhérons pas aux croyances selon lesquelles l’Internet s’auto-régulerait (la main invisible du web 2.0, en fait) et garantirait un web exempt de fausses informations, d’amalgames peu critiques et de propos haineux. Nous avons opté pour une édition contrôlée de tous nos contenus et nous relayons seulement des publications dont l’auteur ou l’éditeur responsable est identifié. Autre bonne nouvelle, nous découvrons chaque jour des contributeurs qui désirent également apporter du nouveau en ligne, du beau et du bon. C’est pourquoi notre troisième objectif est de lancer un réseau d’édition coopératif où chaque contributeur est accompagné dans ses premiers pas puis libre de publier ensuite, pourvu que soient respectées nos règles de fonctionnement. A nous de recruter des auteurs de qualité, de les accompagner, de leur indiquer nos Bonnes Pratiques et de fixer des règles d’édition critique, en accord avec la liberté absolue de conscience ; à nos visiteurs de prendre le plaisir de lire et de découvrir…

Nous revitalisons le mouvement encyclopédiste

Au début du XXe siècle, les Internationalistes estimaient que connaître sa propre culture et celle de l’Autre aiguisait le sens critique des deux, enlevait toute envie de le tuer ou de le torturer et rendait à chacun son identité. C’est dans ce contexte que le Belge Paul Otlet (l’inventeur de la Classification Décimale Universelle de nos bibliothèques) a mis en œuvre un “web de papier” en classant tous les ouvrages de savoir qu’il rencontrait ; son ami, Henri La Fontaine a, lui, milité pour un modèle de société des nations qui préfigurait nos Nations Unies (Nobel de la Paix en 1913). Ont-ils eu raison trop tôt ? Nous continuons à le penser. C’est pourquoi notre quatrième objectif est de militer pour le droit de savoir-s dans toutes nos actions, d’être présents sur tous les fronts accessibles à notre initiative et de marcher aux côtés de tous ceux qui, comme nous, pensent que le citoyen responsable actif et critique est l’avenir de l’Humain. “En effet, le but d’une Encyclopédie est de rassembler les connaissances éparses sur la surface de la terre, d’en exposer le système général aux hommes avec qui nous vivons, & de le transmettre aux hommes qui viendront après nous ; afin que les travaux des siècles passés n’aient pas été des travaux inutiles pour les siècles qui succéderont ; que nos neveux, devenant plus instruits, deviennent en même temps plus vertueux & plus heureux, & que nous ne mourions pas sans avoir bien mérité du genre humain.” (Diderot, 1755)

Nous gérons notre qualité

Notre cinquième objectif est de pratiquer conjointement et de promouvoir sept critères de qualité (associés à la marque wallonica® que nous avons déposée) :

        1. Ingénierie pertinente. Prométhée l’apprit à ses dépens, la technologie n’est pas une fin en soi et, en sa qualité d’outil, ses performances (celles de la technologie) seront évaluées en termes de facilité d’appropriation des savoirs par nos utilisateurs ;
        2. Edition critique.Il faut accueillir toutes les opinions, les loger au niveau qui convient et les composer verticalement” (Weil). L’éditeur doit ainsi s’interdire tout dogmatisme et son travail d’édition doit induire une approche critique du sujet abordé, sans exclusive.
        3. Animation continue. Un éditeur ne peut se satisfaire de la seule publication de ses contenus, fût-elle parfaitement structurée. Pour éviter la stérilité dans l’action, il faut également mettre en œuvre toute une batterie de dispositifs pédagogiques et/ou événementiels pour apporter les savoirs publiés dans le champs d’intérêt des internautes visés. Par l’animation, le virtuel peut descendre dans le réel de chacun.
        4. Utilité publique. L’objectif final de toutes nos activités n’est pas l’enrichissement personnel. Qu’il s’agisse de marketing culturel, de commerce en ligne (boutique) ou de sponsoring, l’initiative sera la seule bénéficiaire de bénéfices éventuels et wallonica.org n’assurera aucune promotion qui ne soit d’utilité publique.
        5. Autonomie financière. Si, dans un premier temps, l’aide des pouvoirs publics et les dons de particuliers ou d’organisations privées sont nécessaires à la pérennisation de wallonica.rg, l’indépendance financière est visée à terme, qui permettra la liberté et la concentration propices à nos activités.
        6. Liberté absolue de conscience. Documenter le monde (c’est-à-dire la Wallonie et Bruxelles…) dans le but de convaincre du bien-fondé d’un dogme ou d’une idéologie n’est pas la même chose que publier une encyclopédie vivante qui alimente la réflexion critique. Nous avons fait notre choix.
        7. Reproductibilité documentée. Notre initiative peut en inspirer d’autres, nées dans le même esprit. Pour gagner du temps, nous consignons toutes nos pratiques et nos développements dans une base de connaissances en accès libre. Servez-vous et partageons !

Notre positionnement

La Toile (le web) regorge d’informations, validées ou spontanées, vraies ou fausses, organisées ou simplement juxtaposées. Elles sont offertes indistinctement aux utilisateurs de tout âge et, souvent, elles voisinent des mosaïques de publicités fort encombrantes. Les sites les mieux documentés y voisinent les contenus les plus inacceptables ; qui plus est, les internautes n’ont pas toujours reçu une éducation aux médias suffisante. Comment alors aider le citoyen à trouver des informations pertinentes, validées et utilisables ?

Le web propose plusieurs types d’encyclopédies en ligne, selon les caractéristiques suivantes :

      1. GRATUITE: le visiteur intéressé doit-il payer/s’abonner pour consulter les contenus de l’encyclopédie ou l’accès est-il entièrement gratuit ?
      2. CAPTURE: l’adresse ou les coordonnées de l’internaute sont-elles demandées avant consultation des différents articles, afin de capturer son comportement en ligne et de lui envoyer des mailings publicitaires ciblés, ou la vie privée du visiteur est-elle respectée ?
      3. PUBLICITAIRE: les marges des articles sont-elles occupées par des espaces de publicité commerciale (automatiquement liées aux habitudes de l’internaute) ou les éventuelles annonces promotionnelles sont-elles exclusivement consacrées à l’intérêt public ?
      4. PARTICIPATIVE: l’internaute peut-il modifier librement les contenus de l’encyclopédie qu’il consulte ou l’édition des articles est-elle contrôlée par un ou des éditeurs responsables identifiés ?
      5. EXHAUSTIVE : la table des matières de l’encyclopédie publiée est-elle exhaustive et ses éditeurs ont-ils veillé à confier la rédaction des articles à des experts officiels et reconnus ou le développement du corpus est-il organique, enrichi au fil des rencontres d’experts, de la vie du réseau des contributeurs et, partant, de l’actualité ?

Toutes ces approches ne sont pas également citoyennes. L’équipe de wallonica.org a fait son choix : elle se positionne clairement dans une niche laissée libre entre deux grandes zones du monde de l’information en ligne :

      • D’un côté, le grouillement des publications non contrôlées sur les outils Web 2.0, les sites « perso », les blogs d’humeur, les pages des réseaux sociaux et les forums souvent sans modérateurs. En l’absence de contrôle éditorial, la quantité y fait loi et les vérités sont fort passagères (pour paraphraser Daniel Boorstin : « Les gens y sont célèbres parce qu’ils y sont connus »). Bref, le meilleur et le pire, sans réseautage ou sélection critique.
      • De l’autre, les silos étanches des connaissances scientifiques, réservés aux chercheurs et aux experts. L’information y est validée, formalisée, catégorisée mais reste peu accessible au quidam qui voudrait en faire son quotidien. Bref, le meilleur mais… en général hors de portée, malgré les efforts de vulgarisation réels entrepris par certains milieux académiques.

Entre les deux, wallonica.org propose gratuitement un portail encyclopédique structuré, dont l’édition est contrôlée, soucieuse de mutualiser tous les types de savoirs wallons et francophones, offrant des liens internes au travers des différentes disciplines, proposant des liens externes vers des ressources plus spécialisées, tout en laissant la place pour les prises de position critiques. Tous les dossiers sont hiérarchisés et la réseaugraphie permet à l’internaute de naviguer de sujet en sujet, au fil d’un même thème. Si le web est la plus grande bibliothèque disponible pour tous, wallonica.org se positionne comme un de ses conseillers de lecture, attentif et critique.


Notre métier au quotidien

Après plus de 20 ans de travail encyclopédique, l’équipe de wallonica.org peut se faire forte d’une expérience polyvalente, qui se traduit au quotidien par cinq activités pragmatiques :

Veiller pour exhumer les savoirs trop peu visibles ou indisponibles en ligne

La Wallonie et Bruxelles sont riches d’une multitude de savoirs de qualité, anciens ou récents, qui peuvent faire viatique au citoyen curieux. Combien de ces contenus sont hélas publiés sur des sites trop peu visités ou dorment dans des ouvrages désormais épuisés. L’équipe de wallonica.org commence sa journée par une revue de presse et l’examen de rapports générés par ses dispositifs de veille ; il s’agit ensuite de faire les recherches liées et, surtout, de rester à l’affût de toute rencontre, réelle ou virtuelle, qui pourrait générer de nouveaux articles…

Collecter dans les formes, pour que tout le monde soit d’accord

wallonica.org est a priori un portail de ressources documentaires, mais c’est aussi un marchepied raisonné vers le reste du web : il est riche des contenus wallons publiés directement dans ses pages mais aussi de ceux qui, publiés par d’autres, sont reliés aux pages de ce hub encyclo wallon par ses hyperliens. Notre journée de travail comprend donc aussi la gestion des partenariats d’édition, tant sur le plan technique et logistique que juridique, quand il ne s’agit pas de gérer les droits d’auteur sur des publications épuisées ou de contractualiser la parution conjointe d’articles de presse…

Editer pour rendre accessible et stimuler la curiosité

L’équipe doit ensuite retrousser ses manches et effectuer en coulisses les différentes tâches d’édition qui vont de l’acquisition (ex. scannage ; OCR…) à la composition de la page d’article (ex. titraille ; mise en forme ; parties rédigées, compilées ou simplement partagées…), en passant par le rédactionnel, la traduction, la révision, les recherches de documentation complémentaire et de visuels et le marquage en vue d’un bon référencement dans les moteurs de recherche. Ceci sans oublier un volet important du traitement de nos contenus : la réseaugraphie interne (les liens vers d’autres articles dans wallonica.org) et externe (les liens vers des ressources présentes sur d’autres sites validés).

Publier pour activer la culture et créer le débat

Tous les acteurs citoyens et les créateurs de ressources (musées, initiatives, offices du tourisme, chercheurs, créateurs…) ne sont pas équipés pour gérer leur visibilité en ligne. En se penchant sur les projets d’utilité publique et les savoirs (petits et grands), wallonica.org leur offre un tremplin pérenne vers une visibilité accrue. L’éducation permanente, l’activation culturelle et le travail de mémoire nécessitent des ressources critiques disponibles pour tous. L’interface de wallonica.org est la traduction ergonomique de ce travail d’activation car nos techniques de publication se doivent de faciliter la découverte et la réflexion. Cliquez curieux, qu’ils disaient !

Animer et former pour mieux diffuser

Formation et animation permettent une diffusion des contenus publiés au-delà des seuls internautes déjà fidélisés. Qui plus est, former plus de contributeurs aide à maintenir un développement de qualité constante. Il s’agit donc pour nous d’animer les réseaux de contributeurs et d’éditeurs wallons ou issus d’autres régions francophones, de les regrouper dans des centres éditoriaux, réels ou virtuels, appelés les Maisons Jaucourt (en hommage au Chevalier Louis de Jaucourt qui, dans l’ombre, a contribué à une grande partie de l’Encyclopédie de Diderot et d’Alembert). C’est également à notre équipe qu’il revient de documenter, didactiser et diffuser en ligne les bonnes pratiques documentaires et encyclopédiques et de participer activement à la recherche et au développement dans le domaine de l’approche encyclopédique des savoirs et de leur diffusion en Wallonie et dans la Francophonie… en ligne.


Chez nous, on ne classe pas
comme tout le monde

La “mondothèque” de Paul Otlet

Pour y voir plus clair dans cet archipel d’îlots de savoirs (présentés sous forme d’articles de blog), on peut découvrir les contenus de wallonica.org au fil des menus suivants :

Incontournables

Une chance pour les nouveaux-venus qui découvrent wallonica.org : nous avons fait une sélection totalement subjective d’articles (notre compil’) et ils sont mis en avant dans 7 sous-catégories, selon les goûts. Pour commencer à cliquer curieux : les extraits de texte ou citations intéressantes dans [Savoir-citer], les reproductions d’œuvres visuelles dans [Savoir-contempler], les bons dictionnaires et les ouvrages de référence dans [Savoir-documenter], les clips/extraits sonores dans [Savoir-écouter], les bouquins qui comptent dans [Savoir-lire], les bandes-annonces de films fameux dans [Savoir-regarder] et l’almanach truffé de recettes de bonne-femme (en fait, de « bonne fame ») dans [Savoir-vivre-au-quotidien]. Le tout intégré dans le réseau des hyperliens de l’encyclopédie.

Encyclopédie

Les contenus y sont classés selon une/plusieurs des sept catégories de wallonica.org. L’approche est originale et s’efforce de traduire ce que l’Honnête Homme peut faire face au monde qui l’entoure…

      • Les [ACTIONS] menées par chacun pour exercer sa puissance d’être humain(sous-catégories : [Aimer], [Boire], [Discuter], [Expérimenter], [Faire du sport], [Manger], [S’amuser], [S’engager]) : amitié, clitoris, tchoufter, Maquet, Père Alfred, Eric van de Poele, Les degrés de l’amour, Pleurs
      • Les [ARTEFACTS] fabriqués par les artistes et les artisans entre nous qui veulent partager leur vision du monde (sous-catégories: [Architecture], [Arts de la scène], [Arts des médias], [Arts visuels], [Bande dessinée], [Cinéma], [Littérature], [Musique], [Sculpture]) : sgraffite, prison Saint-Léonard, Pol Bury, Bénédicte Wesel, perron liégeois, Jacques Charlier, Adrien de Witte, Line Alexandre, Simenon, Musée Tchantchès, Fabris Remouchamps, Raoul Hausmann, Pierre Seron…
      • Les [CONTRATS] passés entre les citoyens pour permettre la vie en société: Centre d’action laïque, Déclaration des droits de l’homme et du citoyen, Physionomie des intercommunales en Belgique (CRISP), Cosmopolis, « Notre temps a une furieuse odeur des années trente… »
      • Les [DISCOURS] scientifiques, religieux, philosophiques ou autres par lesquelles les uns expliquent le monde aux autres : déclinisme, neurone miroir, monstre, « Comment notre jugement moral change quand on change de langue », Colmant, Diel, Klinkenberg, Raxhon…
      • Les [DISPOSITIFS] grâce auxquels chacun interagit concrètement avec le monde matériel, les outils, les médias : Mundaneum, Classification décimale universelle, Zénobe Gramme, Fichier d’autorité, WalOnMap, Mitiku Belashew, Adolphe Sax, Ernest Solvay, VIAF, Jidehem, Otlet…
      • Les [SYMBOLES] utilisés quand seule l’image ou l’objet peut aider à transmettre l’inexprimable: athéisme, monstre, La jeune fille sans mains, perron liégeois, Le symbolisme dans la mythologie grecque, Les mondes du sacré, Le livre des superstitions, arche d’alliance…
      • et [LE MONDE] qui existe sans l’homme (sous-catégories : [Vie et environnement], [Terre et univers], [Matière], [Ecoumène], [Curiosa]) : blob Physarum, Meuse, Région wallonne : Mieux connaître le renard, bernache du Canada, alouette des champs, hippomane…

Kiosque

Il propose des services systématiquement reliés aux contenus de l’encyclopédie :

      • l’agenda des événements pointés par l’équipe de wallonica.org(certains sont également annoncés ailleurs par des ‘pavés cliquables’) : expositions, parutions, rencontres, festivals…
      • les initiatives où chaque fiche présente une initiative d’intérêt public avec ses coordonnées ;
      • les magazines en ligne qui nous intriguent, nous émeuvent ou nous font douter et débattre.
      • la revue de presse où les extraits d’articles de la presse locale ou internationale sont reliés aux contenus de l’encyclopédie, avec un renvoi systématique à la source de l’information ;
      • la tribune libre (ou blogue de bord) où les différents contributeurs tiennent chroniques et partagent humeurs et commentaires subjectifs ;

Vous voulez… en savoir plus

Quelques pages « institutionnelles » et une base de connaissances complète renseignent plus précisément sur l’initiative, l’association, la marque, les critères de qualité, notre engagement ou les différentes manières d’agir ensemble.

Le carré wallonica

Les quatre côtés du « carré » wallonica sont constitués par le site principal du blog encyclo (wallonica.org) et trois sous-sites :

      • la documenta (documenta.wallonica.org: développée en OMEKA) permet à chacun de télécharger des ressources, allant du livre océrisé aux portfolios de photos de concert, en passant par des fichiers son (ex. témoignages) ou vidéo. Plusieurs donateurs nous ont confié des fonds documentaires importants qui sont traités au jour le jour, selon les règles d’édition de wallonica ;
      • le topoguide (topoguide.wallonica.org: développé en WordPress) où chaque article est consacré à un lieu de Wallonie ou de Bruxelles, de la basilique de Koekelberg au chêne à clous de Herchies, en passant par la rue au Pèrî ou la charmille du Haut-Marêt ; on y trouve autant la description du lieu, des anecdotes et des photos que le lien vers WalOnMap, le géoportail de la Région Wallonne ;
      • la boutique (boutique.wallonica.org: développée en WordPress) qui ne fera pas notre fortune, car elle renvoie systématiquement vers le vendeur des différents produits. Elle centralise néanmoins toutes les transactions commerciales du site et propose des créations d’artistes de Wallonie et de Bruxelles, comme des publications culturelles (ex. catalogue d’expos) ou des livres, en collaboration avec LIBREL.BE, la plateforme des librairies indépendantes de Wallonie-Bruxelles !

Nous ne sommes pas seuls, heureusement…

L’encyclopédie wallonica est active au sein d’un maillage complexe d’acteurs, seulement réunis par le souci commun de protéger le droit de savoir-s. Elle est un point nodal, au cœur d’un réseau coopératif de contributeurs mais aussi de responsables institutionnels et d’entreprises qui ont bien voulu délier les cordons de la bourse, de partenaires et d’autres encore qui ont donné, partagé ou mutualisé des ressources qui, au jour le jour, nous permettent de continuer à travailler. Merci qui ? Merci déjà à cet.te internaute qui nous a fait chaud au cœur en commentant :

Quel bonheur !! La navigation sur ce site est tout simplement “humaine”. La progression est libre et respectueuse du visiteur.  Quelle découverte !!! Quel bonheur avec tellement d’informations fraîches et pertinentes.  C’est beau, c’est clair, c’est rassasiant. Merci de nous réconcilier avec l’Encyclopédie avec autant de plaisirs… un régal.

Merci aussi à tous les abonnés qui nous suivent sur FaceBook, sur Instagram, sur LinkedIn, sur Pinterest et sur Twitter. Merci à tous ceux qui parlent de nous, qui nous conseillent, qui partagent avec nous. Merci enfin à ceux qui ont travaillé ou travaillent encore avec nous. Merci enfin à nos sponsors et pouvoirs subsidiants : tout a commencé officiellement avec la Présidence de la Communauté française de Belgique (BE) et Alain DISEUR, Expert à la même Communauté française de Belgique. Plus tard, le regretté Jacques de CALUWE, à l’époque Président de la Haute Ecole de la Province de Liège (BE) a embrayé en entrouvrant les cordons de la bourse provinciale, suivi plus récemment par les encouragements de Bernard GODEAUX, alors Directeur de catégorie à la Haute Ecole de la Province de Liège et d’Annick LAPIERRE, aujourd’hui Présidente du même établissement. Actuellement, nous bénéficions d’une aide modeste de la Fédération Wallonie-Bruxelles (BE). Que du beau monde, mais les temps restent durs : à bon entendeur…

Et ça se voit dans les chiffres…

Différents outils électroniques et extensions de notre plateforme documentaire nous permettent de prendre le pouls de notre visibilité en termes qualitatifs : il nous est plus important d’être lus par des citoyens de Wallonie et de Bruxelles que de collectionner des milliers de « likes » de par le monde !

Par exemple : un article sur un artiste wallon publié dans wallonica.org apparaîtra en général sur la première page des moteurs de recherche les plus populaires (leurs algorithmes nous aiment !) ; il en ira de même pour les produits de la boutique liés à ce créateur, à la rue du topoguide où l’on aura signalé la présence de son atelier et pour le portfolio de photographies de ses œuvres, partagé dans la documenta.

La publication de cet article dans wallonica.org est de plus automatiquement dupliquée sur la page FaceBook de wallonica.org, comme sur Twitter, LinkedIn et Instagram. Elle est manuellement partagée sur les pages perso des éditeurs principaux et relayée systématiquement par plusieurs partenaires via leurs propres canaux sociaux. La page figurera également dans les Derniers parus de l’infolettre hebdomadaire. On peut compter qu’à minima, chaque publication touche effectivement plus de 6.500 personnes dites « captives », au-delà de notre bonne visibilité web (moyennes de fréquentation : 50% FR, 45% BE + CH + USA + CA et… Madagascar !).


Une feuille de route commencée… avant l’an 2000

      • 1995: au Québec, Jacques Dufresne publie une étude sur les autoroutes de l’information et la citoyenneté appelée « Après l’homme, le cyborg » ; il y évoque la possible utilisation humaniste de l’hyperlien et décide de la devise de l’Agora « Vers le réel par le virtuel » ;
      • 1998: avec le soutien actif du futur Premier Ministre Landry, Jacques Dufresne et son équipe publient en ligne les premiers dossiers de l’Encyclopédie de l’Agora développée en LotusNotes/Domino (IBM) ;
      • 2000: au cours d’une mission au Québec pour le compte de l’Université de Liège, Patrick Thonart (éditeur responsable de wallonica.org) se voit accorder l’exclusivité du développement de l’Agora en Europe et en Afrique de l’Ouest par Jacques Dufresne ;
      • 2001: devenu Premier Ministre, Landry soutient officiellement l’Agora et, à sa demande en 2002, le bureau Andersen Consulting de Montréal estime, avec les HEC, les actifs identifiés de l’Encyclopédie de l’Agora à quelque 1,2 millions €. Bernard Landry désirait faire de l’Agora l’encyclopédie institutionnelle du Québec. Le changement de majorité au profit des libéraux québécois a sonné le glas de l’opération malgré le ‘Rapport Gautrin’ qui déclarait l’Agora « première encyclopédie virtuelle, évolutive et participative en langue française »
      • 2004 : mise en ligne de wallonica.org, première interface wallonne de l’Agora, baptisée la wallonica et (2005) promotion en Afrique francophone sub-saharienne (soutien de l’AWEX) ;
      • 2006: à deux reprises, soutien officiel de la Communauté française Wallonie-Bruxelles, intéressée par l’utilisation d’une encyclopédie contrôlée et éthiquement responsable dans les cyber-classes wallonnes (M. Arena, MK. Vanbockestal, A. Diseur, F. Winckel) ;
      • 2007: ancien rédacteur en chef de la revue de l’Union des Associations Internationales (créée par Otlet et La Fontaine au début du XXe), Paul Ghils rejoint l’initiative agora/wallonica où il édite en ligne la revue Cosmopolis ;
      • 2008 : la Province de Liège (via sa Haute-Ecole) soutient officiellement l’initiative wallonica;
      • 2010: la wallonica est migrée en PHP/MySQL (logiciel libre) et désormais publiée à l’adresse https://wallonica.org. En 2011, la revue Cosmopolis rejoint également les nouvelles pages de wallonica.org, désormais éditée grâce à des logiciels libres ; quelques abonnés ou contributeurs prestigieux soutiennent l’initiative agora (Edgar Morin, Michel Serres, Stéphane Hessel…) ; relance du projet auprès du cabinet de JC. Marcourt ;
      • 2012-2015 : nouvelle version autofinancée de wallonica.org sous la forme d’un blog encyclopédique indépendant (d’abord SharePoint de Microsoft, puis WordPress, comme 30+ % des sites web sur l’Internet), affranchi de l’initiative québécoise. Les articles wallons publiés initialement dans agora.qc.ca sont progressivement rapatriés et catégorisés selon la nouvelle nomenclature ;
      • 2019: création de l’asbl wallonica et dépôt de la marque wallonica® ; soutien officiel de la Fédération Wallonie-Bruxelles et lancement des différents services du kiosque ; lancement du réseau d’édition coopératif des Maisons Jaucourt à travers la Wallonie et Bruxelles ;
      • 2020 : développement du carré wallonica: [encyclo + documenta + topoguide + boutique] ;
      • 2021 : le cap des 1.000 articles est atteint. On travaille ensemble ?

Comment travailler ensemble ?

Nous vivons tous une époque où, chaque jour, à travers les médias, nous sommes confrontés à autant d’alertes millénaristes que de nouvelles réjouissantes évoquant des initiatives généreuses, qui œuvrent à la pérennisation de la race humaine et à son évolution, voire à son épanouissement. Par ailleurs, nous avons la chance d’entrevoir aujourd’hui la complexité du monde où nous vivons et nous réalisons que l’urgence climatique n’est qu’un des multiples chantiers où l’action et l’engagement sont désormais nécessaires. L’éducation permanente, la culture et la diffusion des savoirs en ligne constituent un ensemble en péril, où il est impérieux que, d’une part, les pouvoirs publics prennent des mesures concrètes et que, d’autre part, les citoyens responsables participent à l’effort, en mutualisant leurs initiatives. Il n’est pas trop tard mais il est grand temps : voici trois actions communes qui vous permettront de vous réveiller avec le sourire demain matin…

1.     Avec nous, devenez acteur de la diffusion des savoirs

Nous pouvons vous proposer un plan d’action modulaire qui sert un/plusieurs des objectifs suivants : (a) vous devenez une organisation critique et responsable parce qu’ensemble, nous avons exhumé, traité et structuré vos savoirs utiles à tous, e.a. en créant les routines internes nécessaires à votre gestion documentaire ; (b) vous intégrez notre réseau d’édition coopératif et assurez vous-même la publication conforme de vos articles dans wallonica.org, vous êtes une Maison Jaucourt ; (c) vous êtes réaliste et votre charge de travail ne vous permet pas d’y ajouter l’édition en ligne, vous nous avez confié le travail et vous commanditez des articles dans wallonica.org

2.     Mutualisons votre marketing culturel et/ou votre promotion d’intérêt public

Vous organisez régulièrement des expositions, des concerts ou des événements “à contenus”, vous gérez un lieu de mémoire ou un site historique, vous accompagnez des auteurs, des peintres, des photographes ou des plasticiens dont vous désirez promouvoir le travail. Les différents outils de marketing culturel mis en place par wallonica.org peuvent contribuer à cet objectif : pavés d’annonce dans nos publications (ex. topoguide), page dédiée dans l’agenda en ligne, articles de fond dans l’encyclo, annonces auprès de nos abonnés ou sur nos réseaux sociaux, réseautage événementiel, billetterie/produits dans la boutique… Identifions ensemble les options les mieux adaptées à votre visibilité !

3.    Soutenez-nous financièrement

Nous avons besoin de votre aide financière pour garantir la gratuité de wallonica.org, soutenir notre R&D, pérenniser les équipes et, avant tout, nous permettre de continuer les publications. Nous pourrons vous délivrer des attestations fiscales dès que nous aurons été reconnus officiellement d’utilité publique (délai administratif pour la reconnaissance : fin 2021). Il peut s’agir d’un don personnel si vous êtes un particulier (don ponctuel ou régulier, par ordre bancaire ; instruction testamentaire…) ou d’un sponsoring facturé (lié ou non à des actions promotionnelles) ; vous pouvez nous accorder un subside, une subvention ou nous accorder une dotation régulière, si vous êtes un pouvoir subsidiant ; il vous est également possible de faire un placement (à risque mesuré), en nous accordant des fonds que vous nous réclamerez plus tard…


Au boulot !

Nous avons encore du pain sur la planche : […] Absil Jean, Akerman Chantal, Albert Vincent, Alechinsky Pierre, Amblève, Andrien Mady, Ansay Pierre, Arlon, Avouerie d’Anthisnes, Baibay Marianne, Bateson Grégory, BD, Beaucarne Julos, Belgique, Beloeil, Bertrand Cécile, Bianchi Lucien, bière, bière trappiste, Binche, Birr Jacqueline, Boël Gustave, Boutsen Thierry, Bovesse François, Brabant wallon, Brel Jacques, Bribosia Patrick, Bruegel l’Ancien, Bruges, Bruxelles, Bury Jean, Bury Pol, Carême Maurice, Carte Antoine, Castro Roland, Catherine Philippe, Cauvin Raoul, charbon, Charleroi, Charlier Jean-Joseph, chocolat, Closset Brigitte, CoBrA, Cockerill John, Colmant Jacqueline, Comès Didier, Corbiau Gérard, Corbisier Brigitte, Coulon Jean, Culliford Pierre (Peyo), Culture & Démocratie, Dardenne JP & L, Bériot C-A (de), Corte Nathalie  (de), France Cécile (de), Gerlache Adrien (de), Gobert Philippe (de), Lassus Roland (de), Mevius Raphaël (de), Radigues Didier (de), Velbrück F.-C. (de), Delcampe Armand, Delhaize Jules, Delvaux Paul, Delvaux André, Deremiens Guy, Deru Jean-Luc, Deserrano AM, Destrée Jules, Devos Raymond, Dotremont Christian, Duez Marc, Durbuy, Dutrieux Daniel, Duval François, Empain Édouard, Eupen, Folklore, Folon Jean-Michel, Fonds Baptismaux, Fourcault Émile, FRAM, franc-maçonnerie, Franck César, Francqui Émile, Franquin André, Frère Albert, Frère Paul, Frère Philippe, Frites, Fromage, Garnier Anne, Gaston Lagaffe, Gaufre, Gazzotti Bruno, Gees Paul, Geluck Philippe, Gilman Pierre, Glaser Georg, Gobert Théodore, Godefroid de Bouillon, Goscinny René, Gourmet Olivier, Goussey Roel, Greg Michel, Grétry AEM, Grumiaux Arthur, Hainaut, Hänsel Marion, Harpman Jacqueline, Hautes-Fagnes, Hermia Manu, Hillier Louis, Hislaire Bernard, Horta Victor, Houcmant Pierre, Hubert Jean-Claude, Huisman Jacques, Huppen Hermann, Husquinet Jpierre, Hustinx Damien, Ickx Jacky, Immigration italienne, Institut Jules Destrée, Jacqmain André, Jamme Louis, Jannin Frédéric, Janssens Alain, Janssis Jean, Jaspar Bobby, Jazz à Liège, Klenes Anne-Marie, Knaepen Claudine, Kresh, La Fontaine Henri, Lafontaine Philippe, Laixhay Jean-Paul, Lallemand Sadi, Lamarche C, Lambillotte  W., Lefkochir Costa, Lekeu G., Lenain C., Leonardi Michel, Lesse, Liège, Lombard Lambert, Louvain, Louvain-la-Neuve, Luypaerts Claudine (Maurane), Machiels Paul, Magritte René, Mairesse Willy, Mallet-Joris Françoise (Lilar), Mambourg Claire, Martial Patrice, Meunier Constantin, Meuse, Mons, Mosblech Tanja, Mouvement blanc, Musée de la photographie, Nagelmackers, Namur, Nothomb Amélie, Otlet Paul, Ourthe, Pace Maria, Palais Stoclet, Parc naturel des deux Ourthes, Parc naturel des Hauts-Pays, Parc Naturel des Vallées de la Burdinale et de la Mehaigne, Parc naturel Haute-Sûre et de la forêt d’Anlier, Parcs et réserves naturels, Passeur de mémoire, Pastur Paul, Paulus Pierre, Pédagogie, Peers Willy, Peloton anti-banditisime, Pelzer Jacques, Petry Pierre, Piedboeuf Yves, Pintus Pinky, Pire Georges, Pirotte David, Plan Marshall, Plenus Marie-Christine, Poelvoorde Benoît, Popelin Marie, Pousseur Henri, Prégardien MT, Raepsaet Pierre, Recettes de cuisine, Régionalisme, Reinhardt Jean-Baptiste, Rémi Georges (Hergé), Renard Bruno, Réserve naturelle de Waremme, Roba Jean, Rocourt Lambert, Rogier Charles, Rops Félicien, Rubens Pierre-Paul, Sadzot Philippe, Salazar Luis, Salémi Jean-Claude, Sambre, Sax Adolphe, Schuiten François, Schuiten Luc, Serrurier-Bovy Gustave, Servais Jean-Claude, Servais Michel, Seutin Pascal, Sidérurgie, Silvestre Armand, Simenon G., Simonon Charles-Nicolas, Sokal Benoît, Solvay Ernest, Somville Roger, Spilliaert Léon, Spirou, Spiroux-Mathieux Jean, Stanicel JY, Stengers Isabelle, Strebelle Claude, Surréalisme, Tchantchès, Thielemans JB, Thiry Bruno, Thomas René, Tillieux Maurice, Tirtiaux Bernard, Torgny, Tournai, Troclet Léon-Eli, Van Damme Joseph, Van Dormael J., Van Hamme Jean, van Wissen Romain, Vandeloise Guy, Vesdre, Vieuxtemps Henri, Vrindts Joseph, Waldron Mal, Wallonie, Walthéry François, Warocqué Raoul, Warroquiers Jean, Weling René, Welter Robin, Welter Willy, Wesel Bénédicte, Wolkenar Nicolas, Yourcenar Marguerite, Ysaye Eugène […] Parlons-en…


Informations pratiques

      • Le blog encyclo (wallonica.org), la boutique (boutique.wallonica.org), le topoguide (topoguide.wallonica.org) et le centre de ressources “documenta” (documenta.wallonica.org) sont édités par l’asbl de droit belge wallonica créée le 3 mars 2019 ;
      • La marque wallonica® est déposée auprès de l’Office Benelux de la Propriété Intellectuelle sous le numéro 1385539 ;
      • Au quotidien, l’a.s.b.l. est gérée par Patrick THONART, Éditeur responsable. L’adresse postale de l’association est le 40 Au Pèrî à B-4000 LIEGE. L’association peut également être contactée via l’adresse de courriel wallonica@wallonica.org.

Plus d’informations pratiques et légale sont disponibles ici…


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