Solal Israel aborde la photographie avec un mélange déconcertant d’exigence, de rigueur et de liberté inventive. Plusieurs séries, entamées pour la plupart dès ses études à l’ESA “Le 75”, ont pris forme au fil du temps au point de pouvoir à présent s’entrecroiser : récit autobiographique d’une rupture, chronique émouvante de la disparition de sa grand-mère, détournement de photos trouvées (…) Se révèlent aussi bien un sens à la fois classique et ludique du paysage, en tant que genre extrêmement codé, et une approche pleine de gravité du portrait. (d’après CONTRETYPE.ORG)