Dans cette image, qui s’inscrit dans une série de portraits (voir “Le Montagnard” dans la collection de l’Artothèque), le travail de surimpression d’images et de motifs produit un récit par associations de matières et de couleurs. Entre distance et proximité se forme une narration poétique, dans laquelle même le portrait peut être imaginé comme une couche de surimpression. Le quadrillage, qui fait penser aux grilles de calculs, évoque ici l’esprit ou encore un espace abstrait. Entre plaisir des associations de motifs et intervention riche de sens sur la photographie du portrait, l’interprétation est libre.