“Pour certains, La Vie obstinée est bien le chef-d’œuvre de Wallace Stegner, qui obtint le prix Pulitzer en 1972 pour Angle d’équilibre. On y retrouve Joe Allston, croisé dans Vue cavalière, toujours aussi incertain, mécontent de sa vie, de sa civilisation comme de son métier et qui se cherche avec élégance, en des endroits où il n’est jamais allé. Cet insatisfait chronique s’est installé en pleine nature non loin de San Francisco pour y couler, avec sa femme, ce qu’il croit être des jours heureux…
Ce n’est pas pour rien que les romanciers de l’école du Montana, Jim Harrison en tête, considèrent Stegner comme la figure centrale de leur courant littéraire nourri des grands espaces de l’Ouest.”
S’il est quelque part une virilité pudiquement révélée, c’est dans les romans de STEGNER
D’autres incontournables du savoir-lire :
- CORDIER et al : Littérature prolétarienne en Wallonie (PLEIN CHANT, Voix d’en bas, 1985)
- HANSEN : Au secours ! Un ours est en train de me manger ! (WOMBAT, 2013)
- OLAFSDOTTIR : Rosa Candida (ZULMA, 2015)
- KATTUS : Lire, le propre de l’homme ? (CHiCC, 2024)
- DIEL : Psychologie de la motivation (PETITE BIBLIOTHEQUE PAYOT, 2002)
- VIENNE : La nuit bleu écarlate (2023)
- DE LUCA : Montedidio (GALLIMARD, Folio, 2002)
- SANTOLIQUIDO Giuseppe, L’été sans retour (2021)
- PEREC : Je me souviens (FAYARD, 1978)
- VIENNE : Violaine (nouvelle, 2017)
- SOREIL : Dure Ardenne (1937)